Si jusque-là, on acceptait le confinement voire on commençait à s'y plaire, apprendre qu'à cause du coronavirus la culture d'orge (donc la bière) et de pommes de terre est menacée.
Hoa vous explique tout.
Climat+pandémie= agriculture en péril ?
En 2018, la culture de la pomme de terre a déjà eu un coup de chaud en Belgique à cause du réchauffement climatique. Avec l'augmentation des températures, les pommes de terre se déchargent de leur amidon et se liquéfient, mais on avait encore des frites dans nos assiettes.
En Tunisie, la culture de la pomme de terre allemande (appelée aussi 5ème gamme), avait même été satisfaisante avec un rendement dépassant les 30 tonnes par hectare.
Bref, on risquait d'avoir un taux de cholestérol élevé, de la graisse viscérale et un double menton mais on était content, la frite et la bière étant l'emblème de la convivialité.
Toutefois, avec le Covid-19, ces paramètres ont... complètement changés.
En France et plus exactement dans les Hauts-de-France, les agriculteurs se retrouvent avec des "stocks" de pomme de terre dont personne ne veut. Pourquoi ? L'équation est simple: confinement= bars et restaurants fermés=pas de clients=marchandises qui risquent de pourrir.
Et en Tunisie ?
On pourrait connaître le même scénario si le confinement s'allonge. En effet, seuls les ménages consomment de la pomme de terre et ce, par dépit puisque notre dada en matière de bouffe pro-confinement est la semoule,la farine et éventuellement les pâtes déclinées à toutes les sauces.
Pour la bière, sa production pourrait prospérer si et seulement si on se transformait TOUS en Homer Simpson.
Que faire ?
Rester à la maison car plus on sera disciplinés et plus vite on sortira de notre terrier donc plus vite on remangera des frites extra-longues accompagnées de chopes de bières d'un litre, minimum.
La joie !
Hoa Team