03 Février 2021

Edriss Essaied, fondateur d'une marque de montres 100% Tunisienne

Edriss Essaied, fondateur d'une marque de montres 100% Tunisienne

Si son nom sonne comme un livre de George Orwell, la marque de montres tunisiennes Boukornine 1948 mime plutôt la nostalgie du passé. Focus sur une histoire d'amour autour des aiguilles, du cuir et des Tic Tac.

La nostalgie mise à l'honneur

En effet, derrière Boukornine 1948 se cache Edriss Essaied. Après une odyssée académique brillante dans les filières de Commerce International et de Business de mode à Paris, le jeune homme s'est lancé dans le projet des montres de luxe, avec pour ambition de se frayer un chemin dans le milieu de la mode tunisienne via une thématique rare: l'accessoire pour poignet préféré de l'homme pressé et de la femme active, alias la montre. Pour symboliser cette authenticité, le jeune homme s'est inspiré du premier tableau à l'effigie de la montagne de Boukornine, l'emblème de la Tunisie de la fin des années 40 et qui est signé du pinceau de l'artiste peintre et graveur Moses Lévy. 


Une collection minimaliste et de qualité

Edriss utilise pour ses créations une sorte d'acier (le 316L) à faible teneur de carbone ce qui confère à ses bijoux une valeur écologique non négligeable sans oublier que cet acier est fortement résistant à la corrosion. La ligne Boukornine 1948 se décline en huit montres: quatre modèles masculins et quatre modèles féminins d'une grande finesse. Epurée et minimale, la montre Boukornine 1948 sied à toute personne désireuse d'avoir une montre atemporelle et de qualité autour du poignet. Avec un cadran au diamètre parfait,un bracelet en cuir véritable ou en acier inoxydable -tout dépend du modèle- et un logo expurgé de toute fioriture, la pièce Boukornine 1948 séduit par son élégance. 


 

Notre conseil ?

Une montre à la qualité irréprochable, au design indémodable et made in Tunisia avec un prix abordable (comptez entre 250 et 290DT pour une montre, tout dépend du modèle) peut être un excellent choix de cadeaux à offrir ou à "se" l'offrir. 

 

 

Fatma